La 3ème édition de l’étude LUCY
L’AMRAE – Association pour le Management des Risques et des Assurances de l’Entreprise – a publié la troisième édition de son étude LUCY “LUmière sur la CYberassurance”, une étude exhaustive de la couverture assurantielle du risque cyber en France avec la contribution de Verlingue.
Au-delà de comprendre les conséquences d’un renouvellement difficile, ce projet a pour objectif de cerner la pénétration de ce marché dans les couches de l’économie et la réalité des sinistres indemnisés, de clarifier les enjeux du risque cyber et d’accompagner sa couverture assurantielle.
Philippe Cotelle
Administrateur de l’Amrae et président de sa commission Cyber, vice-président de Ferma et Risk Manager d’Airbus Defence & Space, pilote de l’étude
“Ces prévisions peuvent être prises en sérieux : du fait de sa méthodologie et de la profondeur historique de ses quatre années de données, Lucy a fait la preuve de sa robustesse. Au point de devenir une référence sur le marché du risque cyber : régulièrement citée par les différents acteurs de la communauté du risque cyber, elle s’est imposée comme un élément clé du dialogue entre risk managers, courtiers et assureurs.”
Alexandre Tolot
Directeur lignes financières et risques spéciaux Verlingue
“Les résultats sont intéressants et montrent une vraie orientation vers la prévention des risques. Les PME/PMI et les ETI restent encore sous équipées en la matière. Les experts de Verlingue sont à votre disposition pour partager et commenter les résultats de cette étude et vous aider dans la recherche de solutions adaptées.”
Cette année, 10 courtiers et une organisation professionnelle ont répondu au questionnaire conçu de façon collaborative.
L’étude en quelques chiffres :
- 22,3 % : Un ratio sinistres/primes (S/P) historiquement bas qui reflète surtout les résultats des grandes entreprises
- +25 % : Après avoir reculé en 2021, le nombre d’entreprises assurées a repris le chemin de la croissance
- 2,70 % : La croissance des taux de prime ralentit en 2022
- 35 M€ : Le montant des capacités disponibles repart à la hausse pour les grandes entreprises